Ne passez pas à côté !



RAPPEL : au mois d'avril 2007 augmentation de 3%


En effet l'augmentation de salaire prévue en janvier 2007 et qui fut bloquée par le syndicat patronal SNES, a enfin été validée au journal officiel.

En conséquence elle doit figurer sur votre bulletin de paie d'avril 2007. 

Pour montrer son mécontentement le SFPS – CFDT a organisé le 4 mai dernier une manifestation devant les bureaux du SNES à Levallois, demandant également le rattrapage de salaire sur les mois de janvier, février et mars 2007.

A l'heure actuelle, le SNES toujours prompt à suivre une voie ANTISOCIALE fait la sourde oreille, et n'a pas souhaité nous recevoir.

Pour infos, la fédération des services CFDT est signataire de l'accord de branche ayant abouti au 3% d'augmentation + 1% en juillet prochain.

10/05/2007


LE SNES HORS JEU 


Le SNES est l'acteur principal qui a retardé l'augmentation de janvier 2007 malgré la signature de l'accord avec l'USP.


Aujourd'hui, le SFPS – CFDT dénonce les ruses patronales qui ne font qu'accentuer notre perte de pouvoir d'achat précarisant toujours plus la vie quotidienne des salariés qui se retrouvent victimes d'un bras de fer entre le SNES et l'USP. 


C'est pour cela que le SFPS-CFDT refuse le comportement antisocial, irresponsable des dirigeants du SNES qui pourtant devraient connaître les difficultés et la pénibilité du métier.


Avec la CFDT dite NON aux manœuvres dilatoires et grossières engagées par des employeurs sans scrupule dont le seul objectif est de faire des profits, aux dépens des clients et des salariés qui les font vivre !


Le Syndicat Francilien de la Prévention Sécurité CFDT appelle les militants, les adhérents et les salariés de la profession à exprimer leur ras-le-bol devant le SNES.


Dans le cas ou cette manifestation ne suffirait pas pour se faire entendre, le SFPS – CFDT organisera une grève générale sur les sites privilégiés du patron et des adhérents du SNES.


LA LUTTE CONTINUE

RENDEZ VOUS le 4 mai 2007

à partir de 09h00 devant le SNES

47 rue Aristide Briand

92300 Levallois Perret

Métro : Anatole France (ligne 3)



03/05/2007

Revalorisation de la grille !

Avenant & grille 2007 en ligne !


Du rififi chez les syndicats patronaux, la guerre des grosses boîtes (USP) contre les petites et moyennes (SNES), gèle la grille des salaires qui était prévue pour janvier 2007.


Ce jeux de dupes entre les organisations patronales prennent une fois de plus en otage l'ensemble de la profession...

Nous vous tiendrons au courant de l'évolution de ce dossier.

09/12/2006

15 février 2007,  2ème tour : LA FARCE OUVRIERE ! 


Entre déception et réalité sur les pratiques
de l'entreprise Sécurance !

Déception car la liste FO majoritaire sortante n'a de manière objective rien fait pour défendre  tant l'intérêt individuel que collectif.

Rappelons, qu'aucun budget n'est versé au CE, qu'il n'y a pas de locaux pour le Comité, qu'aucune des commissions obligatoires n'a été mise en place (ex logement, formation…), qu'il n'y a pas de permanence juridique pour renseigner les collègues, ou bien encore qu'il n'y a même pas de cadeaux de fin d'année…voila le bilan de la politique de la section FO dans l'entreprise.

Voila pourquoi ils ont été réélus !!!

Rappelons, que lors de la reprise des salariés OST Sécurité, FO n'a pas souhaité défendre collectivement les primes des collègues…

Etonnons nous que de manière objective la liste FO, ne représente que  les « syndicalistes » de Bercy ? (Des postes de direction, au service d'exploitation …)

Comment peut-on penser que ces derniers apporteront des solutions à des situations qu'ils créent sous les ordres de la direction ?

Comment croire que ces « syndicalistes » présents sur des listes avec des contrats de 12h, 24h… seront présents pour les salariés ?

Pourront-ils réellement s'impliquer et défendre les salariés ?

Qu'elles sont leurs motivations ?

Ce vote « surprise » ne représente en aucun cas notre conception de l'émancipation des travailleurs mais plutôt le renforcement de leur soumission !

Les salariés ont ils voté en connaissance de cause ?

Ce sont ils posé les bonnes questions ?


Il n'y a pas d'innocent chacun a pris ses responsabilités

La section CFDT présente au sein de la
Nouvelle intersyndicale (CFDT – CFTC –CGT)
remercie les adhérents et sympathisants qui nous ont soutenu lors de cette campagne.

Côté chiffres :

3 sièges titulaires pour FO
au comité d'entreprise avec 92 votes

2 sièges titulaires pour la nouvelle intersyndicale
avec 91 votes

Et maintenant !

Suivant le slogan habituel « La lutte continue », une première réunion d'après campagne a été fixée entre les responsables de l'intersyndicale (CFDT-CFTC-CGT)
le 21 février 2007 à Paris au bureau du SFPS –CFDT.

Suite à cette réunion nous vous informerons des prochaines actions communes.


19/02/2006

IDF SECURITE ABSORBEE PAR SECURANCE VIA LE GROUPE ZURICH SECURITE


Le 27 juin 2006, la société IDF SECURITE (243 salariés) ainsi que quatre de ses sous-traitants, furent reprises par la société SECURANCE.

Cette reprise de société en liquidation judiciaire n'a pu se faire qu'avec le soutien du Groupe ZURICH SECURITE (la holding qui contrôle Sécurance), dont il apparaît de plus en plus clairement que c'est une de ses spécialités.

Au vu des faits, souhaitons que les différentes reprises d'entreprises en difficulté financières débouchent réellement sur une entreprise pérenne, reconnue par son professionnalisme et non pas,  comme c'est à craindre à un empilement disparate de compétences sans réelle ligne directrice, ci ce n'est la ligne du profit….

L'histoire commence le 31 janvier 2006 quand le tribunal a ouvert une procédure de redressement judiciaire (cf. disposition de la loi du 28/07/2005) à l'égard de la société IDF SECURITE MGS (Sarl), avec une période d'observation de six mois.

Le 11 avril 2006, par jugement le tribunal a prononcé l'extension du RJ de la Société IDF, sous patrimoine commun, à d'autres sociétés " sœurs ", à savoir : MAUD INTERVENTION SECURITE PRIVEE, SAINT AUGUSTIN SECURITE, GARDIENNAGE PROTECTION SERVICE, VIGILANCE PROTECTION GARDIENNAGE et LUCCIANO SECURITE PRIVEE.

Suite à cette décision et compte tenu de l'impossibilité de présenter un plan de redressement, l'administrateur a lancé un appel d'offre en vue de bâtir un plan de cession totale dans le cadre du redressement, excluant la Société Lucciano de la reprise.

Après un premier écrémage seules 4 offres furent prises en compte dont, bien évidemment celle de Sécurance.
Après avoir entendu les différents avis, du mandataire judiciaire, des représentants du personnel (des sociétés en difficulté),  et du juge commissaire, précisant que le substitut du procureur de la République a été entendu en ses observations, le Tribunal a arrêté le plan de cession d'IDF et des sociétés " sœurs " en faveur de la société Sécurance.

Les critères déterminants ayant été le maintien des emplois, les préférences émises par les salariés et la solidité financière du repreneur.

Voilà de manière synthétique la petite histoire de l'achat de la société IDF, par Sécurance.

Quels enseignements pouvons nous en tirer pour l'avenir ?


Premièrement : les choix de la direction concernant la croissance de l'entreprise ne passent que par de la croissance externe, le rachat d'entreprise en difficulté.

Pour mémoire,  Sécurance trouve son origine dans le rachat d'EUROPÉENNE D'ACTION. De la même manière, en juin 2005, OST - SECURITE, fut rachetée par Sécurance.
Un an plus tard presque jour pour jour c'est le tour d'IDF Sécurité.

Deuxièmement: pourquoi basculer les EX -OST, dans une société filiale spécialement créée pour eux qui en l'espace de quelques mois s'est appelée Sécurance Sud puis depuis juin 2006 Sécurance Europe ?
Les camarades d'IDF Sécurité connaîtront-t-ils le même sort ? Cela avec un montage juridique se réservant dans l'offre de reprise une faculté de substitution au bénéfice d'une société à constituer ?

Troisièmement : pourquoi faut-il se transformer en détective comme dans les romans de Conan Doyle pour reconstituer le puzzle ?
Pourquoi boycotter les partenaires sociaux et retarder par des arguties juridiques l'organisation d'élections dans l'entreprise depuis maintenant plus d'un an malgré les différents jugements du Tribunal d'Instance de Paris 12e en faveur des Institutions Représentatives du Personnel ?

Si les questions sont plus faciles à poser que d'obtenir des réponses, nous pouvons malgré tout par l'observation des faits - rachats successifs et les non réponses - tirer une conclusion salvatrice.

Développement de la précarité (exemple : les collègues ex-Ost ont fait partie de 3 sociétés en moins d'un an !).
Cloisonnement des contrats de travail par sociétés sœurs dans le but d'éviter que les avantages Ostien se répandent.
Recours massif à la sous traitance …


Dans ce magma libéraliste d'entreprises en fusion, seules les sections syndicales offrent un lieu de rassemblement et de défense pour les salariés.

Alors si ce n'est déjà fait, rejoignez nous !


Elem

03/08/2006


Bilan OST


La création de la section CFDT en 2001 s'est imposée par un devoir d''établir une pluralité syndicale et instaurer la démocratie dans l'entreprise.
Dès le début, l'objectif était clair participer activement à établir un dialogue et empêcher les dérives sectaires.

L'intérêt collectif, prime sur l'individuel.

La tâche n'était pas facile. Nous avons accompli notre devoir dans le respect de chacun.
Nous étions minoritaire mais nous avons fait notre travail avec sérieux et détermination envers les salariés.
Nous regrettons que nos remarques faites en CE et nos mises en garde ne fussent pas prises en compte, prise considération pour éviter la liquidation de la société Ost.
Notre engagement est constant et notre travail est connu.

Le rachat en mai 2005 de la société Ost par Sécurance n'a rien changé pour la section CFDT, l'équipe a continué à travailler malgré les difficultés rencontrées.
Dans le désert syndical Sécurance, nous avons continué le travail après la liquidation de la Société Ost en mai 2005.

La section CFDT a participé activement au sein de la Société Sécurance à modifier les pratiques syndicales dans cette Société.

La direction Sécurance a considéré les syndicats d'Ost responsables de la liquidation de cette dernière. A partir de ce constat erroné les rapports avec la direction étaient tendus, pas de dialogue possible dans un climat serein.

Malgré nos efforts auprès de la direction pour expliquer notre point de vue et notre volonté de dialogue nous n'avons pas trouvé un interlocuteur investi d'un pouvoir de décision.

Notre but n'a jamais été de détruire ni de prendre le contrôle de la société.
Nous sommes pour l'application et le respect de la loi.

Nous défendons et soutenons les idées des propositions sans être à la remorque de quiconque.


10/2005

De l'avenir à Sécurance ?


Sécurance est une société en évolution, en devenir, contrôlée par la holding Zurich Sécurité, son visage est amené à évoluer. Si nous ne pouvons pas prédire son évolution (+/-) ; celle-ci ne pourra être profitable pour les salariés qu'avec des sections syndicales organisées.

Si Sécurance est née des rachats de la Société Européenne d'action et d'Ost Sécurité, cela ne doit pas faire de nous des nostalgiques. Si nous n'avons rien à regretter de notre passé, si nous ne devons rien oublier des pratiques antérieures, nous devons  - envers tous les salariés de la Société anciens et nouveaux - regarder vers l'avenir.
Regarder vers l'avenir sans ressentiments, sans haine, uniquement dans l'esprit de l'intérêt général, l'intérêt des salariés.

Si le travail est dur, parait parfois insurmontable il n'est jamais vain.

Comme d'habitude des rumeurs - radio couloirs fonctionne (circulent) - vous les connaissez, vous les entendez…
La guerre larvée que certains trublions aigris souhaiteraient mettre en place dans l'entreprise pour je ne sais quel ressentiment personnel, ne nous concerne pas.

Notre objet en tant qu'organisation syndicale représentative est de préserver nos acquis, de veiller au respect de la législation (code du travail, Convention Collective Nationale), d'être une force de propositions responsable (nouveaux accords…), et surtout d'améliorer les conditions de travail.

Des choix, des actes.

Sécurance, ce n'est pas le paradis, mais en aucun cas  ce n'est à nous d'en faire un enfer dans le but de quelques intérêts particuliers au détriment de tous les salariés.
La solution simpliste serait de baisser les bras de tout lâcher en pensant qu'ailleurs l'herbe est plus verte, ce choix n'est pas le notre. Nous sommes là, nous y restons et nous mettrons Sécurance à niveau en matière de droit du travail, de transparence, de rapport avec les IRP.

Nous ne sommes pas là pour détruire, mais pour proposer, construire des solutions gagnant gagnant tant pour les salariés que pour la pérennité de l'entreprise.

03/2006

L'entreprise c'est un contrat


Un contrat entre différents acteurs. En premier lieu c'est un contrat entre une personne (le salarié) et un patron (représentant de l'entreprise), c'est aussi un contrat moral envers la société en général.

Dans notre type d'activité - la prévention sécurité - c'est également un contrat avec les clients qui fait de nous des sous traitants.

Chacun des acteurs, malgré la recherche d'intérêts particuliers, se rejoint théoriquement dans l'intérêt général, chacun doit y trouver son compte.

Quand est-il à Sécurance ?

Contrat à sens unique ? On peut le penser, beaucoup de sites de perdus, peu ou pas d'information (tout reste verbal), beaucoup de changements de sites, beaucoup de démissions ou de licenciements, pas d'élection (malgré la décision du Tribunal), flou dans la structure (organigramme, qui fait quoi ?) etc….

Du côté des clients, beaucoup d'entre eux recherchent trop souvent le moins disant social, moins disant social pris sur vos salaires !
Sous couvert du libre marché, d'appel d'offres et d'une pseudo neutralité ces derniers sont souvent des Ponce Pilate, ils s'en lavent les mains, une fois le contrat signé et pourtant...

Aucun des acteurs n'est neutre, ni Sécurance, ni les clients, ni les salariés.
Chacun doit prendre ses responsabilités, soit on travaille ensemble, soit les perspectives s'assombrissent.

Le fait de refuser une nouvelle fois que les salariés puissent avoir des élus pour les représenter et faire valoir leurs intérêts, leurs droits, doit-il être pris pour un Casus Belli  ?

La réponse appartient aux acteurs.

Pour nous, section CFDT nous seront toujours présents pour la défense de nos collègues et porteront leur message !

03/2006

L'après OST


La section CFDT a continué le travail après la liquidation de la société Ost en mai 2005. (Ouverture registre DP, questions, participation réunions, recherche d'accords, assistance aux entretiens de  licenciement….).

Section moins nombreuse qu'à Ost, mais toujours intacte à Sécurance avec les mêmes militants et de nouveaux qui nous rejoignent.

La section CFDT a participé activement au sein de Sécurance à modifier les pratiques syndicales dans cette société (beaucoup reste à faire).

Le début  a été très difficile, la direction a voulu imposer ses méthodes de travail avec les syndicats au mépris parfois du code du travail. On a eu le sentiment que la direction a considéré les syndicats comme des ennemis qui cherchent à détruire la société.

La grève et la manif du 8 septembre organisées par la CFTC et la CFDT si elles ont laissé des traces ne doivent pas être synonyme de blocage de la situation.

Chacun doit en tirer un enseignement.

Pour les salariés d'Ost cela a permis le maintien des acquis, de leur statut.


Côté CFDT plutôt qu'un statu quo renvoyant chacun dos à dos, nous aurions préféré aller plus loin avec la mise en place d'accords pour tous.

Huit mois après le rachat nous pensons que le temps est venu de reprendre le chemin des négociations (Mise en place d'une nouvelle mutuelle, repenser l'organisation du temps de travail, garantir le travail en 12 heures, prime de dispo, classification, taux horaires, formation….) cela est pour nous CFDT primordial.

C'est notre priorité numéro 1.

Syndicat responsable, notre but n'a jamais été de détruire la société. Nous avons cherché à établir un rapport de force juste portant la voix des salariés et les valeurs de la CFDT.

03/2006

L'après 8 septembre


C'est un peu la gueule de bois pour tout le monde !

Les lendemains de fête ou de mobilisation sont toujours un peu difficiles, tant ceux-ci suscitent l'espérance, mais malgré ce que disent certains grincheux, cette journée fut positive.

Elle a marqué un coup d'arrêt dans l'arbitraire patronal.

Le premier point c'est que la prime de transport a été remise sur les fiches de paie d'août 2005. Cette prime qui était d'après certains « illégale » redevient à nouveau légitime.

Remercions également notre encadrement qui s'est gentiment déplacé sur les sites la veille de la journée d'action pour apporter les bulletins de paie (l'argent arriva après sur les comptes) pour annoncer que la prime était rétablie.

Ne soyons pas dupes, cette tentative de désamorcer la situation est indigne d'une vraie direction, la vraie solution se trouve dans les négociations que notre section CFDT a mené jusqu'au bout, mais cela « Bercy » ne l'a pas compris, malheureusement.


Quoiqu'il en soit, sans la mobilisation des salariés organisée par les sections CFTC et CFDT de l'entreprise, cette prime ne serait pas revenue (reste le problème de la prime de juillet, sur cette question, nous sommes en attente de l'ordonnance de référé des Prud'hommes de Paris fait par votre section CFDT).

Les mauvaises langues ont dit, ou fait dire que la mobilisation n'avait pas marché.

Parlons chiffres près de 90 personnes devant Europe 1 rue François 1er sur une société de 300 personnes (dont 180 ex-Ost), c'est plutôt bien. Surtout quant on sait qu'une semaine plutôt 1er septembre, la Samaritaine ne réunissait qu'environ 150 personnes sur 1500 salariés.

Nous n'avons pas à rougir de notre mobilisation, ni de nos revendications. Nous n'avons pas à rougir de nos actes. Si les problèmes sont loin d'être résolus dans la société, les salariés ont dans leur majorité répondu présents.

Loin d'être démobilisés, devant la fin de non recevoir, nous envisageons d'autres actions pour faire valoir, nos droits en toute légalité, notamment devant les tribunaux compétents.

Restons solidaires !

A bientôt sur les sites lors de nos visites et au bureau du syndicat pour les adhérents et militants de la section.

Paroles, Paroles…


En juillet 2005, comme le suggère la chanson, les promesses de notre nouvel employeur Sécurance sont restées vaines.

« Ne craignez rien, nous ne toucherons pas  aux avantages acquis », disaient nos repreneurs !

Les premières fiches de paie nous ouvrent les yeux ! L'objectif de la direction est clair : démanteler nos primes les unes après les autres. Après le transport pourquoi pas le repas et l'entretien ? Ou bien encore, l'alignement sur notre grandiose convention collective !

Heureusement la journée de mobilisation du 8 septembre 2005 et une centaine de réclamations sur le bureau de la direction, ont mis un frein au démantèlement de nos acquis contractuels.

Toutefois, le combat est loin d'être fini. Alors si vous ne voulez pas devenir un « agent à 1000 €uros », nous devons nous battre maintenant !
Restons solidaires, sinon il sera inutile de pleurer sur nos primes disparues….

Le temps de la mobilisation a sonné !

Prouvons à ces gestionnaires que nous ne sommes pas des « têtes pleines d'eau » !
Nous savons réfléchir, nous mobiliser et agir le cas échéant.

La lutte sera difficile sans nul doute, mais l'inaction serait suicidaire.
Accueil

Bilan de la manif du 14 mars 2006 !

Contre le gel des salaires et pour la réouverture des négociations avec les syndicats patronaux.

Il y a quelques jours à peine a eu lieu une journée de mobilisation nationale organisée par les cinq confédérations syndicales représentatives : CFDT-CFTC-CGC-CGT-FO, cet appel fait à l'ensemble des salariés des entreprises de prévention et de sécurité à se mobiliser, a été il faut bien l'avouer un demi succès.

En effet, après les premières remontées d'informations des militants sur sites, nous devons constater que les actions de terrain n'ont pas ou peu été suivies. Seul le rassemblement pour manifester devant le site de France Télévisions (organisé par le SFPS - CFDT) a été un franc succès.

A l'avenir nous souhaitons que les autres organisations, suivent notre stratégie de point de fixation sur un site (médiatique) plutôt que de disséminer les forces militantes à droite à gauche, pour finalement peu d'effet.

Pour autant, nos revendications (salaires conditions de travail…) et la demande de réouverture immédiate des négociations avec les syndicats patronaux de la profession sont toujours d'actualité.
La balle est dans leurs camps. Sans réponse de leur part, d'autres actions ciblées seront organisées par les organisations syndicales.

Parce que nous sommes tous concernés,nous comptons sur vos présences pour les prochaines actions.

03/2006

RESULTATS ELECTIONS DE JUIN 2005 A SECURANCE


Nous sommes 300 salariés dans la société Sécurance et grâce à une habile utilisation du calendrier, seule une centaine de salariés a pu s'exprimer.
Devant ce déni de démocratie, de représentativité réelle, les sécurance d'origine, ont continué leur processus électoral comme si de rien n'était.

Deux effets principaux : exclusion de fait de 200 salariés d'Ost et syndicalement avoir moins d'élus.

1ère question : Pourquoi des syndicalistes souhaitent-ils avoir moins d'élus ?
2ème question : Pourquoi des syndicats souhaitent priver de leurs droits de vote 200 salariés ?

Les réponses sont peut être dans les résultats !

Un élu titulaire à Sécurance est élu avec 6 ou 7 voix de ses collègues !!!!
Pour mémoire la date anniversaire était janvier ou mars 2005 suivant certains documents (PV Ce).
Cela sous  entendrait donc que les mandats on été au minimum prolongé de deux mois, par rapport à leur durée officielle qui était de deux ans.
Pour quels motifs on l'ignore. Mais s'il ont été prolongés de deux mois, pourquoi alors avoir prétexté qu'on ne pouvait pas ajouté deux petites semaines de plus pour intégrer le personnel ex-Ost ?

A se demander si l'on voulait bien de nous...


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